ENQUÊTE – Aux États-Unis, l’armée a admis, après des années de silence total, l’existence de nombreux «phénomènes aériens non identifiés» (PANs). D’autres témoignages venus de différents endroits du globe terrestre corroborent les observations de la Nasa. Et les scientifiques s’interrogent.
Par Charles Jaigu, pour Le Figaro Magazine
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Le 28 janvier 1994, à 13h14, l’équipage d’un Airbus A320-11 qui assure la liaison Nice-Londres, survole la région de Coulommiers, en Seine-et-Marne. Le temps est beau, la visibilité parfaite. « Le chef steward aperçoit ce qu’il croit être un ballon météorologique. Le commandant de bord et le copilote décrivent de leur côté un disque brun ou rouge sombre, dont ils estiment la taille à 300 mètres. Il évolue à gauche de l’avion pour prendre la forme d’une flèche, avant de disparaître sous leurs yeux au bout de deux ou trois minutes. Le contrôle aérien de Reims précise n’avoir aucun trafic aérien dans le secteur. Pourtant une trace radar non identifiée est bien enregistrée par le radar de défense aérienne de Cinq-Mars-la-Pile pendant cinquante secondes, mais à droite de l’avion, et non à gauche, et elle croise bien la trajectoire de l’Airbus. »
Chasseurs d’histoires
L’histoire, est relatée par Luc Dini dans le livre qu’il publie ces jours-ci *. Ce spécialiste en construction aéronautique dirige depuis huit ans la…
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